Performances

L’énergie la moins cher est celle que l’on ne consomme pas !

La construction la moins cher est celle qui nécessite le moins d’équipement pour se climatiser, se chauffer et se protéger des canicules !

Géothermie et Agro-matériaux

Bio sourcing matériaux – Construction décarbonée sans déchet – Architecture de Biodiversité Régénérative

Chauffage passif par géothermie biomimétique – Ventilation intelligente

Stockage massif Thermique Saisonnier/Journalier – Solution de climatisation par énergie intermittente

Bilan carbone et coefficient de performance

Le bilan carbone est déjà très bon du fait du piège à carbone que sont les bio agro matériaux, si en plus vous utilisez des bio résines et des matériaux à inertie thermique comme la terre, des matériaux d’isolation comme la paille, la laine de bois, le chanvre, le lin, la cellulose, mais aussi que vous générez très peu de déchet pendant la construction en atelier et sur le terrain, vous êtes en phase avec la RE2020.

L’analyse ACV  du bureau d’études Thermique GREENATION, donne un résultat  E4 C2 à notre bâtiment. (COFRAC)

Ce calcul est réalisé en prenant en compte les équipements de chauffage, climatisation, avec ou sans panneaux solaires photovoltaïques et thermique, géothermie, ventilation mécanique.

Il varie en fonction du niveau des équipements. Le bâtiment le moins couteux, sera au minima passif en chauffage et climatisation dans sa version la plus sobre, s’il produit de l’énergie revendue sur le réseau, il deviendra positif, mais plus cher du fait de l’installation photovoltaïque. (amortissement sur 20 ans).

(En savoir plus site ADEME E+C-)

Le CBS d’un bâtiment structure bois végétalisé est entre 0,7 et 0,8, sachant qu’un terrain vierge est à 1 et une construction entourée d’un revêtement non absorbant à 0. (voir explications ADEME)

Les mesures physiques de performances thermiques du bâtiment pilote ont débuté fin septembre 2018 pour terminer en mai 20213.

L’équipement de puits canadien adapté à la verticalité des talus est moins cher et ne nécessite pas de réaliser de fouilles du terrain, il peut être installé sur la plupart des géologies en Europe.

GEOTHERMIE DE SURFACE EN FRANCE (BRGM)

L’impossibilité de creuser le sol naturel ou de forer en profondeur a freiné l’utilisation de la géothermie de surface en Europe (BRGM), notre équiment breveté profite du paysagisme de biodiversité en utilisant les formations massiques rapportées.

Les importants volumes de terre permettent un stockage thermique par énergie intermittente.

Un stockage diffusif se matérialise par l’exploitation d’une formation massique de terre. Au cours d’un cycle, généralement saisonnier, la température de ce volume va varier entre deux extrêmes induisant une sorte de « respiration » thermique du volume impacté par le dispositif de stockage.

Pour les stockages diffusifs, les échangeurs en serpentins enterrés sont parcourus par un fluide caloporteur ou par de l’air (puits climatique).

Lorsque la température de l’air caloporteur est différente de celle de la masse de terre, il y a échange de chaleur.

Une gestion électronique (domotique) permet de stocker le surplus de calories des apports solaires journaliers et activités humaines journalières, dans les formations massiques par diffusion thermique. Les calories sont ensuite récupérées par un échangeur serpentin qui transporte l’air neuf vers l’habitat.